jeudi 24 novembre 2016

166. Le lézard noir

Ma cent-soixante-sixième lecture un est court roman japonais de Ranpo Edogawa : 


J'ai emprunté ce livre un peu par hasard : la couverture et le titre m'ont plu, les premières lignes de la 4ème de couverture aussi. Voilà. 

Voici le synopsis : "  "Sur son bras gauche, un lézard noir ondulait, il semblait ramper tout en donnant l'impression qu'il allait se déplacer de son bras vers l'épaule, puis vers le cou, pour arriver enfin jusqu'aux lèvres humides et rouges, il restait indéfiniment surplace."
Une enquête de Kogorô Akechi, et certainement le plus célèbre roman policier d'Edogawa : un cambriolage rocambolesque lancera le détective dans une course-poursuite sur les traces d'une femme fatale et sans scrupule surnommée "le lézard noir", à la recherche de la belle Sanae. Un enlèvement réussi et des travestissements déconcertants mettront à mal sa perspicacité et conduiront le lecteur dans un labyrinthe secret et inattendu, jusqu'à un musée extravagant. Yukio Mishima a adapté ce roman au théâtre, jouant lui-même un petit rôle dans le film qui en fut tiré par le réalisateur kinji fukasaku, en 1968."

Je dois vous avouer que j'ai été captivée par l'histoire, même si j'ai moins apprécié la fin. 
Mais tous ces rebondissements, tous ces stratagèmes avaient un petit air à la fois  de Gaston Leroux avec son mystère de la chambre jaune...   et de Maurice Leblanc avec Arsène Lupin. 
Bref, autant vous dire que je me suis délectée !

A lire avec une bonne tasse de thé. 

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